Le SYNGEV représente et défend la parole des vétérinaires ayant fait le choix souverain d’exercer au sein d’un réseau, tout en les impliquant collectivement dans le développement de la profession vétérinaire.
Répondre aux enjeux-clés pour l’avenir du secteur
Être un point de contact pour les institutions
Représenter un mode d’exercice nouveau
Soutenir l’innovation du secteur
La profession vétérinaire connaît depuis quelques années et à l’instar de la société française dans son ensemble, de profondes transformations aspirationnelles, démographiques et professionnelles. Cette nouvelle donne modifie directement les attentes de la profession.
Le secteur connaît notamment des évolutions technologiques majeures notamment dans l’imagerie, des spécialisations médicales ou le développement de nouvelles discipline médicales. On compte aussi l’accroissement de la taille des cliniques vétérinaires et mode d’exercice en mutation avec le développement des centres de référés.
S’adosser à un groupe devient une option privilégiée par de nombreux vétérinaires qui y voient l’opportunité d’exercer dans un cadre de travail adapté à leurs besoins de flexibilité, de collaboration avec leurs pairs, de diversité des compétences et d’un accès facilité à de nouvelles technologies pour des soins vétérinaires d’excellence.
Aujourd’hui, la profession vétérinaire est composée d’une population de plus en plus jeune (près de 46% sous 40 ans) et féminine (58%). Cette nouvelle démographie modifie directement les attentes.
Avec près de 1 foyer français sur 2 qui possède au moins un animal de compagnie, avoir accès aux meilleurs soins est une priorité. Les clients sont mieux informés et plus exigeants. Les groupes d’établissements vétérinaires ont la robustesse, l’organisation et le financement nécessaire pour répondre à ces nouvelles demandes et offrir une garantie de standard d’excellence en santé animale à travers le territoire.
Grâce à leurs nombreuses implantations sur le territoire, les membres du SYNGEV contribuent à maintenir un maillage vétérinaire suffisant afin de permettre une prise en charge des soins aux animaux dans un temps compatible avec leur état de santé et leur bien-être.
De plus, les réseaux vétérinaires contribuent à assurer la continuité des soins sur le territoire, grâce aux services d’urgences 24h/24, dimanches et jours fériés et aux gardes de nuit effectuées pour le compte d’autres cliniques vétérinaires.
Les établissement SYNGEV s’engagent à respecter la liberté de diagnostic et de protocole de tous les vétérinaires, qu’ils soient associés, collaborateurs ou salariés, formalisé dans les contrats d’exercice liant les vétérinaires aux établissements SYNGEV. Le contrat d’exercice prime sur la qualité d’associé.
Il donne la possibilité aux praticiens de référer à une autre structure, du même groupe ou non, afin de répondre de manière efficace à la priorité de la qualité des soins pour l’animal. Enfin, le SYNGEV s’engage à garantir l’indépendance de prescription thérapeutique et médicale du vétérinaire, qui doit avoir accès à l’ensemble des molécules de l’arsenal thérapeutique dans l’intérêt de la santé de l’animal, comme le prévoit le Code de déontologie.
Les règles de gouvernance en place dans les réseaux de SYNGEV garantissent une complète indépendance thérapeutique pour les vétérinaires et des règles de gouvernance conformes au code rural et au code du commerce.
Les structures du SYNGEV oeuvrent à améliorer l’équilibre vie privée et professionnelle des vétérinaires et de leurs équipes grâce à l’appui d’une équipe structurée et la possibilité d’aménager son temps (différents statuts offerts : libéral, salarié, temps partiel). Les structures du SYNGEV permettent également une optimisation des ressources organisationnelles et financières, grâce à des processus rodés et intégrés.
Les établissements SYNGEV permettent la facilitation de la mobilisation de la polyvalence des disciplines avec des formations et une mutualisation des connaissances et des expertises entre vétérinaires (radiologie et biologie, oncologie, chirurgie, soins intensifs, médecine générale etc.).
C’est permettre le financement d’équipements technologiques de pointe (scanners, IRM, radiothérapie etc.), évitant l’endettement personnel des vétérinaires puis un soutien pour le développement de l’e-santé avec l’intégration de nouveaux procédés comme la télémédecine et de nouveaux outils liés la e-santé animale.
A l’horizon 2030, la France pourrait compter près de 17 millions de chats et 5,5 millions de chiens. A cela s’ajoute une sensibilité populaire croissante pour le bien-être animal, et une volonté des possesseurs d’être plus actifs dans le suivi médical de leur compagnon.
Les groupes d’établissements vétérinaires répondent aux attentes de cette nouvelle clientèle en offrant des services complémentaires aux cabinets traditionnels : services urgence, soins spécialisés (oncologie, laserthérapie, orthopédie, etc.) ou un suivi en ligne plus avancé.
Les groupes de cliniques vétérinaires proposent un appui pour une médecine générale d’excellence et de proximité avec l’anticipation des maladies graves ou le suivi des maladies chroniques. Par ailleurs on note l’extension des centres hospitaliers vétérinaires (CHV) afin d’assurer un plus grand nombre de prises en charge quotidiennes.
Le SYNGEV soutient également le développement de soins multidisciplinaires et spécialisés, avec la possibilité pour différents vétérinaires de se coordonner sur un même dossier. Par exemple en oncologie, la coordination entre un imageur, un chirurgien et un spécialiste de médecine interne a un impact direct sur la qualité de prise en charge.
Grâce à l’expertise médicales de ses vétérinaires et à la qualité du réseau qu’il constitue, le SYNGEV contribue à la recherche clinique et à la surveillance épidémiologique des populations animales.
Les fonds de recherche alloués par certains groupements aux projets de leur cliniques vétérinaires stimulent la recherche et le développement de la médecine vétérinaire.
@Syngev 2023
